Petit bonheur.

Ce matin, Lulu marche fièrement sa balle dans la gueule, et regarde les gens, les enfants qu’elle croise avec un air de dire : t’as vu! C’est ma balle!
Ça fait sourire les gens et rigoler les enfants et ça… Ça fait du bien de se dire qu’on offre un micro petit bout de bonheur aux autres. Et moi ça me rend heureuse aussi!

2015/01/img_7490.jpg

Questions de bonheur.

Je lis en ce moment beaucoup de chose en lien avec le bonheur, la pensée positive… Car oui, mon objectif 2015 est le bonheur! Bien sûre chacun a sa définition du bonheur, et certains composants ne dépendent pas que de nous comme l’amour par exemple.
Mais pour ce qui est du reste, des choses dont nous sommes seuls « maîtres » et bien il faut s’en occuper et bien!

Dans 3 kifs par jour de Florence Servan-Schreiber, elle explique son cursus et nous rapporte 3 questions qui lui ont été posés lors d’un cours sur le bonheur par Tal Ben-Shahar (dont j’ai commandé les livres, je vous ferais des posts).
« Dans quelles circonstances avez-vous eu la sensation de connaître un bonheur éternel? A quel événement déplaisant avez-vous survécu? Qu’avez-vous appris? »
C’est surtout la dernière question qui m’a interpellé et oui qu’est-ce que j’ai bien pu en apprendre? Et bien que bonheur ou malheur… Rien ne dure. Finalement rien n’est éternel, pas même nous! Mais aussi, et je vais vous avouer que c’est tout récent et qu’en plus j’y travaille encore! Que le bonheur ne doit pas dépendre des autres, ils y participent bien entendu mais votre bonheur ne doit JAMAIS être uniquement dépendant de l’autre. Parce que sinon vous allez vous réveiller un matin en vous demandant « Est-ce que c’est ça ma vie? C’est ça que je veux? » 

Alors pour être heureux commençons par le commencement, prenons un exemple sublime et incroyable : Moua!

De quoi j’ai besoin pour être heureuse? Bah la première étape, répondre à mes besoins, et au vu de mon niveau sur « répondre à mes besoins », on va avoir le droit à un préquelle (je viens de découvrir qu’on appelle ça aussi un antépisode, claaaaassssssse!)

Qui de mieux placer pour parler des besoins que notre cher Professeur Abraham Harold Maslow (oui, je sais il est décédé en 1970, mais à coeur vaillant rien d’impossible!)

« Bonjour, Cher professeur, merci de me faire l’honneur d’expliquer vos travaux sur mon blog. »

« Ton what? Et qu’est ce que je fucking fou là? T’es who toi? »

« Merci. Euh… et sinon y a moyen de nous expliquer votre fameuse pyramide de Maslow? »

« Yes, bien sûre. I find que l’homme n’atteint le plein développement de son psychisme que s’il est satisfait sur tous les plans : physiologie, sécurité, amour (appartenance), estime (reconnaissance) et accomplissement de soi (créativité)*. And i have dessiné une pyramide for que ce soit more clair! »

« Quel être brillant vous faite! »

« I know! So i dessine pour toi my pyramide, because t’as pas l’air very fufute! »

« … *vexée* »

Pyramide_des_besoins_selon_Abraham_Maslow

« It is 5 niveaux de besoin :

  1. À la base, les besoins physiologiques (tels que la faim, la soif, le sommeil) ;
  2. Ensuite, les besoins de sécurité et de protection (tels que le désir d’un toit, argent, métier…). Ces deux aspects assurent la survivance physique d’une personne ;
  3. Puis viennent les besoins d’appartenance, besoins sociaux qui reflètent la volonté de faire partie d’une famille, d’un groupe, d’une tribu ;
  4. Ensuite arrivent les besoins d’estime de soi (qui permettent de se regarder dans le miroir le matin) pour les besoins psychologiques ;
  5. Enfin, apparaissent au sommet de la hiérarchie, les besoins d’auto-accomplissement (qui renvoient au désir de se réaliser soi-même à travers une œuvre, un engagement, une réalisation).

« Merci professeur… je vous laisse remonter sur votre nuage afin que je puisse finir mon article.

« Maybe les gens préfère my article? »

« Oui, bon bah c’est bon il prend sa pyramide et il y va!« 

Non mais oh, je vais pas me faire piquer la vedette par un psychologue mort?

Voilà, voilà je sais plus ce que je disais! Ah si, mes besoins. Au jour d’aujourd’hui (j’adore cette expression) je prend conscience que je ne respecte même pas la base de ma pyramide! Je ne dors pas assez, je ne bois pas assez (d’eau! hein je vous entend d’ici bande de filou!), mon corps est épuisé, et comment arriver à mon sommet de pyramide si mon véhicule terrestre n’arrive pas à suivre? So j’ai décidé de :

  1. Dormir un max, faire des siestes (même si dans mes croyances c’est de la perte de temps)
  2. Être vigilante sur mon hydratation.
  3. Être un maximum à mon rythme, et si il est plus lent que d’habitude, tant pis, j’en mourrai pas! Hein? Non? Sûre? Ok.
  4. Dire aux autres quand j’ai besoin d’aide, ou d’être soutenue, ou juste d’un câlin.

Bien évidement être aussi vigilante à respecter déjà ces quatre points là, pour commencer. Qui veut voyager loin, ménage sa monture et moi je veux aller très loin. Je vous tiens bien évidement au courant de tout ça et de mes montées d’étage de pyramide.

Et vous vos besoins? Vous en êtes où?

*Source Wikipédia.